jeudi 31 décembre 2009

Netherland, Joseph O'Neill

C'est intéressant de lire un des livres de chevet du président Obama. On comprend mieux la sensibilité sociale des dirigeants de notre financiocratie.
Le propos du roman, c'est le mal à l'âme post 11 septembre d'un millionnaire hollandais, new-yorkais d'adoption: il a dû quitter son loft à Wall Street, sa femme et son fils sont partis vivre à Londres: snif, on compatit.
Entre un président amateur de romans guimauves pour richards, et un autre président illettré, on se dit que la planète est entre de bonnes mains ...
On voudrait leur conseiller de lire La misère du monde, de Bourdieu. 15 ans déjà, et rien de changé.

1 commentaire:

dasola a dit…

Bonjour, je trouve que ce roman est d'une lecture ennuyeuse. Une fois de plus, la 4ème de couverture ne rend pas compte de l'histoire. Je ne conseille pas vraiment cette lecture.