samedi 8 décembre 2007

Un Khadafre dans le Sarkophage

Une infirmière, un missile, une autre infirmière, un autre missile.
On sait enfin ce que valent les malheureuses infirmières bulgares: quelques missiles à une dictature soutien du terrorisme (ils ont prévu dans le contrat de ne pas faire sauter un hôpital rempli d'infirmières françaises), et la première visite officielle dans une démocratie occidentale du colonel. La marge est étroite entre réal politique et honteuse compromission.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

on peut remarquer que la terminologie employée par Sarkozi et consort dans la justification de la visite de Khadafi ressemble à celle d'un éducateur : "rédemption" par exemple.
L'une des techniques des éducateurs pour réinsérer les délinquants dans la communauté est de leur confier une véritable responsabilité ( matérielle ou même charge de personnes parfois ). Dés lors, il est normal que l'éducateur Sarkozi confie au délinquant Khadafi quelques missiles, mirages ... je suis certain que cela lui permettra de devenir adulte. D'ailleurs, je préconise même que l'on confie à chaque autocrate une bombe H : après tout, on peut penser que leurs exactions ne sont que le signe du désœuvrement et qu'une telle responsabilité leur montrerai qu'au fonds on les aime bien, mais qu'on n'a pas su leur montrer.