samedi 8 juillet 2006

France Italie

Mon pote Luigi m'a dit: "quel bol que je sois italien, et que tu sois français."
Je lui ai répondu: "t'imagines, on aurait pu naître allemand, ou portugais, ou pire: anglais!"
Et là, on s'est marrés.
Et puis j'ai rajouté:" Depuis 2000, vous avez appris à reboucher les bouteilles de Champagne...."
Alors, il m'a regardé d'un drôle d'air, pas commode du tout, et j'ai compris qu'il y avait des limites à tout, que notre belle amitié ne survivrait pas au deux jours qui allaient suivre.
Adieu Luigi, je t'aimais bien.

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